Je hais google traduction !
Un traducteur est meilleur poète que moi, sigh (mutliples traductions du même texte, franco japonnais, japo français, etc)
Poésie, littérature de l'âme
Guide mon cœur en ses mots
Reflet de la beauté se réclame
Et guérit l'esprit de ses maux
詩、魂の文学
彼の言葉で私の心を導く
美しさの要求を反映した
そして、その病気の心を癒してくれます
La poésie littéraire, l'âme
Je dirige mon cœur dans les paroles de son
Je réfléchis à la demande de la beauté
Et guérir les cœurs de la maladie
文学詩、魂
私は彼の言葉に私の心を実行する
私が考える美しさへの需要
そして病気の心を癒す
La poésie de la littérature, de l'âme
Je dirige mon cœur à ses paroles
Demande de la beauté je pense
Et je guéris l'esprit malade
文学の詩、魂
私は彼の言葉に私の心を導く
私が考える美しさの要求
そして、私は病気の心を癒す
Poésie de la littérature, de l'âme
Je dirige mon cœur à ses paroles
Demande de la beauté je pense
Et je guéris l'esprit malade
L'Ombre
Ombre planante dans l’obscur ciel de nos vies
Ternit la joie, éteint le rire, aggrave la nuit
Perdu dans des méandres d’encre de chine
Comme au plus profond d’une sombre mine
Assassine le bonheur, afadit la beauté
Noir de sang, noir de mort, noir achevé
Plus de lumière dans cet univers perdu
Plus d’espoir plus rien, tout est déchu
Ombre planante dans l’obscur ciel de nos vies
Une âme vagabonde ternie, s’éteint, se finit
La nuit s’empare d’elle, son existence se termine
L’obscurité à ses yeux plus nette se dessine
Les ténèbres finalement l’ont enveloppée
Un froid glacial sans prévenir s’est invité
Conjugaison fatale pour cette âme abattue
A jamais égarée dans ces limbes indus
Ombre planante dans l’obscur ciel de nos vies
A jamais nous aveugle et nous détruit
Alors ne vous inquiétez pas, je vais très bien, je suis même heureux de vivre, ce poème m'a été inspiré par d'autres faits et comme ça faisait longtemps que je n'avais rien publié, j'avais envie de le poster (même si j'ai écrit des poèmes joyeux entre temps qui n'apparaissent pas encore ici ^^)
Et pour une fois, au diable la métrique !
Veilleur de nuit
Ô nuit qui couvre de ton voile sombre
Ce paysage où s’allongent les ombres
Veille sur son sommeil dans ta pénombre
Afin qu’il se déroule sans encombre
Souvenirs heureux, présent douloureux
La fin de l'homme
Toujours perdu, seul, triste, errant au bord de l'eau
La conscience vagabondant au gré des flots
Les yeux dans les vagues, pleurant comme un marmot
Le solitaire s'égare au fil de ces mots :
"Oublie moi, je ne suis plu cell' qui t'aime trop..."
ODH
A part ça que je ne sais pas trop d'où il vient, je n'ai toujours pas d'inspiration (et ça se ressent)
Tir groupé
Dans l'ordre chronologique :
———
A une inconnue
La lumière danse dans ses cheveux de feu
Aveuglant mes yeux à travers ce jeu
Un ange passe le temps de ce bref regard
Rarement pareille vision sublime
En moi suscita un tel teint, pale, blafard :
Ne vois-je pas là la beauté ultime ?
———
D'L
Quand la lune le soir majestueusement
Dans le ciel nocturne décrit son orbe élégant
Morphée me fait don de son étreinte si douce
Mais ce charmant contact tant chéri entre tous
Ne saurait remplacer tes bras ma belle enfant
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Acta Est Fabula
A nouveau au piquet, le dos au mur
Face à tous ces fusiliers en armure
Sinistre pantomime qui trop dure.
Un lieutenant s'approche, pas très sûr ;
Entame la conversation, murmure
Plaisante, s'égaie, m'éloigne du mur
Et me fait la promesse d'un futur.
Doucement le bonheur renait, ô joie !
L'officier me fait redécouvrir l'émoi.
Douce période passée dans ses bras.
Mais le Général arrive, tout froid
Et éloigne le soldat aux abois.
Au mur on me reconduit de ce pas
Et le Général baisse le bras.
Les coups pleuvent sur mon corps déjà éteint
Et la flamme de mon coeur est si loin
Un fusilier méchant sourit en coin
Et me vise au coeur avec un grand soin
Je reconnais de ma mort le témoin :
La vie, cette salope, m'a atteint ;
Et de ce trou coule mon sang restreint,
Dernières larmes dont mon corps sera oint...
———
Sans titre :
J'ai cru à l'utopie qu'on appelle Bonheur
Pour ne trouver que sa réalité : Malheur
Je sais désormais pour qui sonne enfin le glas
A nouveau mon cœur passe de vie à trépas
Octi d'Honoré